Michel Aoun, le président du Liban, voulait vivre près de l’île Charlemagne.
Réfugié à l’ambassade de France à Beyrouth, Michel Aoun avait été exfiltré en 1990 du Liban. Il devait emménager avec sa famille dans la belle maison près du château. Un projet peu apprécié par Jean-Pierre Sueur, maire d’Orléans à l’époque.